Je viens de lancer sur le Bondy Blog le septième épisode de mon roman, la mort de Sonni. Normalement, le septième jour on se repose mais moi, jamais, pas de repos, la république du Net ce n'est pas assez et puis Bruno Facondi - ce n'est pas son vrai nom mais vous voyez qui je veux dire, lui non plus ne se contente pas de l'Elysée, il veut tout, même le net, tout le monde veut tout, ce n'est pas possible de travailler dans ces conditions.
Nous les journalistes, on est pas des anges. Vu et pas pris. C'est notre devise. Qui veut faire l'ange, survoler l'actualité avec ses petites ailes, jamais y toucher, comme les papillons de nuit, fini toujours par se transformer en bête, voir en dragon cracheur de feu. Et alors Saint Michel vient, il nous donne une grosse claque, et il nous remet à notre humble place. Ni président, ni rien, juste des pauvres gens qui font ce qu'ils peuvent.
Nous les journalistes, on est pas des anges. Vu et pas pris. C'est notre devise. Qui veut faire l'ange, survoler l'actualité avec ses petites ailes, jamais y toucher, comme les papillons de nuit, fini toujours par se transformer en bête, voir en dragon cracheur de feu. Et alors Saint Michel vient, il nous donne une grosse claque, et il nous remet à notre humble place. Ni président, ni rien, juste des pauvres gens qui font ce qu'ils peuvent.
Il faut donc lui pardonner à Bruno, et aussi aux journalistes et aux autres de pas toujours être aussi légers et aériens qu'ils voudraient bien en avoir l'air. Comme moi, quand j'ai attrapé la gloriole. C'est une sacré mésaventure, heureusement il y a eu Sonni et Julia pour me récupérer. Maintenant je peux vous raconter ça en riant,comme un professeur d'anatomie montre un cadavre à ses étudiants, pour leur édification.
Dilgo Marvick
Votre Président
Receveur des Français
Journaliste et Homme de Guerre